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#AESinfo | #Mali 🇲🇱
Retour au pays : Un Malien condamné à mort en Mauritanie transféré grâce à l’action conjointe de l’ANSE et du ministère des Maliens de l’extérieur
Dans le cadre de la coopération judiciaire entre le Mali et la Mauritanie, Monsieur Yaya Cissé, ressortissant malien condamné à la peine de mort et détenu en Mauritanie depuis le 30 mars 2012, a été transféré dans un établissement pénitentiaire malien pour y purger sa peine.
Ce transfert a été rendu possible grâce à la mise en œuvre de la Convention générale de coopération en matière de justice signée entre les deux pays. Il marque l'aboutissement d’efforts soutenus menés par le ministère de la Justice et des Droits de l’Homme, avec le soutien décisif du Président de la Transition, Son Excellence le Général d’Armée Assimi Goïta.
Mais cette opération n’aurait pu se concrétiser sans l’implication déterminante de l’Agence Nationale de Sécurité d'État (ANSE) et du ministère des Maliens de l’extérieur. La délégation officielle, conduite en Mauritanie, comprenait notamment le Ministre Directeur Général de l’ANSE, le Général de Corps d’Armée Modibo Koné, le ministre des Maliens de l’extérieur et le Directeur des Affaires Juridiques du ministère. Accueillie chaleureusement à Nouakchott, la délégation a pu mener les discussions de haut niveau nécessaires au bon déroulement du transfert.
Le point culminant de cette visite diplomatique a été la rencontre avec le Président de la République Islamique de Mauritanie, Son Excellence Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, dont la franche collaboration a été saluée par les autorités maliennes.
Le ministre de la Justice, Mamadou Kassogué, a exprimé sa profonde gratitude aux plus hautes autorités mauritaniennes, ainsi qu’aux organisations de la diaspora malienne et de défense des droits humains, qui se sont mobilisées pour soutenir Monsieur Yaya Cissé.
Cette action illustre la volonté des autorités maliennes de garantir les droits de leurs ressortissants, partout dans le monde, et de renforcer les liens de coopération régionale dans le domaine judiciaire et diplomatique.
1052
22:57
17.04.2025
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Administrateur : @Oneclic1
3042
18:42
17.04.2025
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#AESinfo | #Niger 🇳🇪🤝🏾🇳🇬#Nigeria
Le Grand Retour de la Diplomatie Fraternelle
Le 16 avril 2025, un vent nouveau a soufflé sur les relations entre le Niger et le Nigeria. C’est à Niamey que M. Yusuf Maitama Tuggar, chef de la diplomatie nigériane, a posé ses valises à la tête d’une importante délégation. Accueilli par son homologue nigérien, M. Bakary Yaou Sangaré, Ministre des Affaires Étrangères, de la Coopération et des Nigériens à l’Extérieur, les deux responsables ont entamé une séance de travail qui marque un tournant significatif dans la coopération bilatérale.
Selon le communiqué final, les échanges se sont déroulés dans une atmosphère empreinte de cordialité. L’occasion a été saisie pour passer en revue les défis communs aux deux pays et aborder les grandes questions régionales et internationales.
Au cœur des discussions : un large éventail de projets structurants visant à renforcer la coopération économique et à stimuler le développement transfrontalier. Parmi eux, l’opérationnalisation des marchés frontaliers, la construction du gazoduc et de la ligne ferroviaire Kano-Katsina-Jibiya-Maradi, sans oublier les autoroutes, la fibre optique transsaharienne, ainsi que les enjeux liés à l’énergie, à l’agriculture, à l’éducation, à la lutte contre la désertification et aux technologies de l’information.
Les deux délégations ont également insisté sur la relance de la Commission Mixte Nigéro-Nigériane de Coopération (CMNNC), considérée comme un levier essentiel pour consolider les acquis et rapprocher davantage les peuples et les gouvernements des deux pays.
Ce retour à un dialogue actif et constructif ouvre une nouvelle ère de collaboration entre le Niger et le Nigeria, deux nations unies par l’histoire, la géographie, et désormais, par une volonté renouvelée de bâtir ensemble l’avenir.
📹@DW
4207
13:48
17.04.2025
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🇧🇫🇺🇸 "Graves inexactitudes au sujet du Burkina Faso": Ouagadougou proteste contre les "assertions erronées" d'un général américain sur la gestion des ressources minières
Le ministère burkinabè des Affaires étrangères a opposé "un démenti formel" suite aux propos tenus début avril par le général Michael Langley, chef du Commandement des États-Unis pour l’Afrique (US Africom).
💬 "En avançant que les ressources minières du Burkina Faso, ainsi que certains revenus issus de la coopération avec la Chine, ne profiteraient pas à la population et serviraient plutôt à la protection du 'régime en place', le général Langley adopte une posture qui nie délibérément la nouvelle dynamique souverainiste du Burkina Faso", selon un communiqué.
5863
15:32
16.04.2025
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#AESinfo | #BurkinaFaso 🇧🇫
Le Burkina Faso Réagit Fermement aux Propos Injustifiés du Commandant de l’AFRICOM
Le ministère des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur a exprimé sa vive protestation à la suite des propos tenus par le Général Michael Langley, commandant de l’AFRICOM, lors d’une audition au Sénat américain le 3 avril 2025.
Dans cette intervention, le Général Langley a tenu des propos jugés infondés et politiquement orientés à l’encontre du Burkina Faso, remettant en cause les choix de coopération et la dynamique souverainiste engagée par le pays. Il a notamment insinué que les relations actuelles du Burkina Faso ne servaient pas les intérêts de sa population.
Le gouvernement burkinabè, par la voix du ministère des Affaires étrangères, a démenti ces allégations, dénonçant leur caractère erroné et leur impact potentiel sur l’image du pays. Il a rappelé les efforts soutenus dans la lutte contre la corruption, la défense des intérêts du peuple, et les progrès notables réalisés dans plusieurs secteurs clés tels que l’agriculture, l’éducation, la santé, et la sécurité.
Le ministère a également mis en avant les résultats significatifs obtenus par les Forces de Défense et de Sécurité (FDS), appuyées par les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP), dans la lutte contre le terrorisme, soulignant l’engagement sincère du gouvernement pour la stabilité nationale.
Enfin, il appelle au respect de la souveraineté du Burkina Faso et à l’usage de canaux de communication appropriés pour favoriser un dialogue franc, respectueux et constructif avec ses partenaires internationaux.
5733
11:22
16.04.2025
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#AESinfo | #BurkinaFaso 🇧🇫
Force Unifiée de l'AES : Offensive Imminente contre le Terrorisme
Le Capitaine Ibrahim TRAORE, Président du Faso, a reçu ce mardi une délégation cruciale : les Chefs d'État-major généraux des armées de la Confédération des États du Sahel (AES). Leur mission ? Faire le point sur la mise en œuvre de la force unifiée, un pilier essentiel dans la lutte contre le terrorisme qui ravage la région.
Le Général de division Oumar DIARRA, Chef d'État-major général des Armées du Mali et président du comité, a exprimé sa satisfaction suite aux directives du Président TRAORE. "Nous ressortons très satisfaits et ragaillardis par les orientations et les directives qui ont été données par le Président du Faso. A chaque fois, quand on vient voir le politique, ça nous donne aussi beaucoup d’ardeur dans la mise en œuvre de la force unifiée de l’AES, objet de notre rencontre à Ouagadougou," a-t-il déclaré.
Au cœur des discussions : le protocole additionnel de la force de l'AES, les bilans des opérations Yéréko 1 et 2 menées dans la zone des trois frontières, et la planification des opérations futures. La détermination des forces de l'AES est palpable. "Nous sommes décidés et déterminés. Nous rassurons que la force de l’AES est en train de monter en puissance," a affirmé le Général DIARRA, soulignant leur capacité d'adaptation face aux tactiques terroristes évolutives. "Je puis vous dire que la victoire est au profit des forces de l’AES."
Parallèlement, à Bamako, les Chefs d'État-major de l'armée de l'air de l'AES se sont réunis pour coordonner leurs moyens, renforçant ainsi la défense de l'espace aérien de la confédération.
Ce double front, terrestre et aérien, témoigne de l'engagement total des États de l'AES à éradiquer le terrorisme et à garantir la sécurité de leurs populations. Les Chefs d'État-major appellent à la confiance envers les dirigeants et les forces armées, assurant une montée en puissance continue vers une victoire décisive.
Source : Direction de la Communication de la Présidence du Faso.
5429
07:56
16.04.2025
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#New226| #BurkinaFaso🇧🇫‼️🚫⛔️
Fonds de soutien patriotique : Une Camerounaise contribue pour 300 000FCFA .
Mme N’TABE EDITH EGEBE surnommée "la maman camerounaise de IB", a fait parvenir lundi à Dakar, la somme de 300 000FCFA, comme contribution au Fonds de soutien patriotique.
L'enveloppe a été remise à l'ambassadeur du Burkina Faso 🇧🇫 au Sénégal 🇸🇳 Saïdou Maïga par l'entremise de sa petite sœur HILDA N’TABE FASON, citoyenne camerounaise vivant à Dakar.
"La maman camerounaise de IB, la donatrice réaffirme ainsi son attachement à la cause du Burkina Faso et sa solidarité avec le peuple burkinabè en ces temps d’épreuve", informe l'ambassade dans un compte rendu.
L’Ambassadeur Saïdou Maïga a salué cet acte d’une grande portée, rappelant que chaque appui, aussi modeste soit-il, est une victoire dans la marche vers la paix et la souveraineté.
Il a chaleureusement remercié Madame EGEBE pour ce témoignage de fraternité africaine et a assuré que sa contribution sera dûment transmise aux autorités compétentes.
"Solidarité des peuples, engagement pour la paix.
Le Burkina Faso n’est pas seul", conclut l'ambassade du Burkina Faso 🇧🇫 au Sénégal.
6639
14:55
15.04.2025
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🇧🇫 Burkina Faso 🆚 Mali 🇲🇱
🕙 16H00 GMT
🏟️ Stade El Arbi Zaouli
🌆 Casablanca, Maroc 🇲🇦
Ce derby ouest-africain est l’affiche d’un des 1/2 finale de la #TotalEnergiesAFCONU17.
📸 @CAF_Online
6489
10:03
15.04.2025
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📍 #France | Attaques coordonnées contre des prisons
Dans la nuit de lundi à mardi, plusieurs établissements pénitentiaires français ont été la cible d’attaques coordonnées d’une rare violence. Des véhicules ont été incendiés aux abords de certaines prisons, tandis que d’autres ont essuyé des tirs à l’arme automatique, semant l’inquiétude dans les rangs des autorités pénitentiaires et de la population. Ces actions simultanées et ciblées soulèvent de sérieuses questions sur leur origine, leur organisation et les motivations des auteurs, alors que les services de sécurité sont mobilisés pour identifier les responsables et prévenir d’éventuelles répliques.
6506
08:49
15.04.2025
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#AESinfo | #Algerie 🇩🇿⚡🇲🇱#Mali
« Kidal vaut bien une guerre » livre de l'ancien ambassadeur d'Alger a Bamako : Quand l’Algérie tombe le masque et s’enlise dans sa guerre d’influence contre le Mali
Il y a des livres qui résonnent comme des coups de canon. Et puis, il y a « Kidal vaut bien une guerre. L’Algérie et la France au Mali et au Sahel : Influence vs Puissance, autopsie d’un conflit géopolitique », le pamphlet géopolitique signé par un ex-diplomate algérien reconverti en cartographe colonialiste : Nourredine Ayadi. Un ouvrage qui ne fait pas dans la dentelle et qui a le mérite ou le cynisme de dire tout haut ce que l’Algérie pensait tout bas : Kidal n’est pas malienne, elle est une extension naturelle de l’Algérie. La messe est dite.
Mais derrière cette littérature en treillis, c’est une réalité plus glauque qui transparaît : l’Algérie, parrain officieux (et parfois officiel) du terrorisme sahélien, n’a jamais cessé de jouer aux pyromanes diplomatiques. Depuis plus de trente ans, elle héberge, arme, et caresse les mouvements armés dans le sens du poil, tout en se drapant dans une toge de médiateur neutre. Quelle audace ! Ou plutôt, quel numéro de prestidigitation.
Car soyons sérieux : qui ignore encore que l’accord d’Alger de 2015 n’a jamais été qu’un chiffon de papier destiné à légitimer la mainmise algérienne sur le nord malien ? Derrière le vernis de la "réconciliation", ce texte n’était qu’un instrument de chantage géopolitique, une laisse diplomatique sur le cou de Bamako. Et lorsque les autorités de la transition malienne ont eu le courage ou le bon sens de brûler ce texte en 2024, Alger a tout simplement perdu sa télécommande sur Kidal.
Depuis ? C’est l’errance diplomatique. L’Algérie, isolée, boudée par ses voisins, voit son influence se diluer plus vite qu’un cachet d’aspirine dans le désert. Même son éternel rival, le Maroc, grappille du terrain, grignotant la façade ouest-africaine avec une diplomatie agile et des deals bien huilés. Et cela, pour Alger, c’est le cauchemar. Alors elle s’accroche à ce qu’elle croit être sa dernière planche de salut : la provocation militaire.
Le 1er avril une date qui sied à merveille à cette farce tragique un drone malien est abattu… sur le territoire malien. Un message clair : “c’est chez nous, désormais”. L’Algérie, État-voyou en costume trois-pièces, vient de signer ce que Nourredine Ayadi avait prophétisé : la guerre pour Kidal. Une guerre de revanche. Une guerre d’ego blessée. Une guerre de façade pour masquer une influence en décrépitude.
Mais voilà le hic : le Mali, lui, a changé. Fini l’État sous tutelle. Fini le silence complice. Bamako ne danse plus au son de la flûte d’Alger. Plutôt que de tomber dans le piège de la confrontation directe, il choisit le chemin, certes escarpé, mais diplomatiquement légitime : celui des instances internationales. Une plainte a été déposée. L’Algérie, qui rêvait de briller au Conseil de sécurité, se retrouve aujourd’hui sur le banc des accusés. L’arroseur arrosé, version sahélienne.
Reste une carte à jouer : celle de l’action militaire malienne pour reprendre le contrôle total de Kidal. Une option que le Mali n’exclut plus, si la provocation persiste.
Alors, si Kidal vaut bien une guerre selon Alger, le Mali, lui, sait qu’elle vaut mieux que toutes les guerres du monde. Mais qu’on ne s’y trompe pas : il saura la défendre. Parce que la paix se gagne aussi par la fermeté. Car au bout du jeu trouble, il pourrait bien y avoir une réponse qu’elle n’avait pas prévue : un Mali debout, uni, et prêt à en finir avec les fauteurs d’instabilité.
Et cette fois, ce ne sera pas dans un livre.
Malick Doucoure - AESinfo
8150
11:04
14.04.2025
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