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Pour rappel, ils sont près de 600 jeunes médecins spécialistes et en spécialisation à avoir financé leurs études à leurs propres frais (souvent avec l’appui de leurs familles et ou proches) dans des pays comme la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso ou le Bénin.
Il est à préciser que beaucoup étaient majors de leurs promotions et ont refusé des offres à l’étranger pour rentrer servir en Guinée par patriotisme.
Pourtant, la plupart travaillent aujourd’hui dans la précarité : bénévolat ou petits contrats dans nos hôpitaux publics et privés.
Pendant ce temps, nos hôpitaux de l’intérieur manquent cruellement de spécialistes. Dans certains services, comme la dermatologie, il n’y a tout simplement aucun spécialiste pour prendre en charge les patients, selon des informations certaines que j’ai pu recueillir.
Or, cette absence de spécialistes dans certaines régions illustre le problème.
J’en ai moi-même fait l’expérience.
Souffrant d’une pathologie depuis 2016 et après avoir consulté sans succès plusieurs hôpitaux publics et privés de l’intérieur surtout, notamment à l’hôpital régional de Kankan et celui préfectoral de Pita, j’ai fini, sur conseil de mon frère Souleymane Mansare, par me rendre au CHU Donka.
C’est là que j’ai rencontré, pour la première fois, la talentueuse Dre Mariame Touré qui m’est jusqu’ici d’une aide précieuse, puis le professeur Tounkara, tous deux dermatologues. Grâce à leurs diagnostics et à un traitement simple mais approprié, ma situation a évolué favorablement.
Par ailleurs, le silence autour de ce dossier inquiète. Le pays ne peut pas se permettre de perdre ces compétences, au moment même où les populations urbaines et rurales ont un besoin urgent de soins spécialisés. La médecine ne se fait pas par tâtonnement ; c’est un domaine assez sensible où une seule erreur peut coûter la vie à quelqu’un.
Il faut noter que depuis la transmission des listes de spécialistes au ministère, aucune information officielle n’a filtré. Ce silence entretient la confusion et alimente les frustrations, surtout ayant l’expérience fâcheuse de certaines pratiques peu catholiques de nos chefs administratifs.
Il est donc urgent que le Ministre de la Santé se saisisse rapidement de ce dossier, non seulement pour la santé des Guinéens, mais aussi pour l’avenir de notre système de soins.
AFFAIRE À SUIVRE…
#LE_MITRAILLEURNous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲 chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲 chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲 à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲otre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲 chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲 chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲otre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
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20:33
14.09.2025
Salut je préfère c'est vieux dirigeants que les jeunes dirigeants inconscient
0
01:44
15.09.2025
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à 🩺 Santé en Guinée : 600 spécialistes en attente d’intégration dans l’administration publique guinéenne.
Depuis le 15 juillet 2025, une circulaire du Ministère de la Santé demandait aux hôpitaux publics et privés de transmettre la liste des médecins spécialistes non encore engagés dans la fonction publique, qu’ils vivent en Guinée ou à l’étranger. La note avait été signée par le Directeur National des Établissements Hospitaliers Publics et privés, Dr Fallaye CONDÉ (voir image).
Pour rappel, ils sont près de 600 jeunes médecins spécialistes et en spécialisation à avoir financé leurs études à leurs propres frais (souvent avec l’appui de leurs familles et ou proches) dans des pays comme la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso ou le Bénin.
Il est à préciser que beaucoup étaient majors de leurs promotions et ont refusé des offres à l’étranger pour rentrer servir en Guinée par patriotisme.
Pourtant, la plupart travaillent aujourd’hui dans la précarité : bénévolat ou petits contrats dans nos hôpitaux publics et privés.
Pendant ce temps, nos hôpitaux de l’intérieur manquent cruellement de spécialistes. Dans certains services, comme la dermatologie, il n’y a tout simplement aucun spécialiste pour prendre en charge les patients, selon des informations certaines que j’ai pu recueillir.
Or, cette absence de spécialistes dans certaines régions illustre le problème.
J’en ai moi-même fait l’expérience.
Souffrant d’une pathologie depuis 2016 et après avoir consulté sans succès plusieurs hôpitaux publics et privés de l’intérieur surtout, notamment à l’hôpital régional de Kankan et celui préfectoral de Pita, j’ai fini, sur conseil de mon frère Souleymane Mansare, par me rendre au CHU Donka.
C’est là que j’ai rencontré, pour la première fois, la talentueuse Dre Mariame Touré qui m’est jusqu’ici d’une aide précieuse, puis le professeur Tounkara, tous deux dermatologues. Grâce à leurs diagnostics et à un traitement simple mais approprié, ma situation a évolué favorablement.
Par ailleurs, le silence autour de ce dossier inquiète. Le pays ne peut pas se permettre de perdre ces compétences, au moment même où les populations urbaines et rurales ont un besoin urgent de soins spécialisés. La médecine ne se fait pas par tâtonnement ; c’est un domaine assez sensible où une seule erreur peut coûter la vie à quelqu’un.
Il faut noter que depuis la transmission des listes de spécialistes au ministère, aucune information officielle n’a filtré. Ce silence entretient la confusion et alimente les frustrations, surtout ayant l’expérience fâcheuse de certaines pratiques peu catholiques de nos chefs administratifs.
Il est donc urgent que le Ministre de la Santé se saisisse rapidement de ce dossier, non seulement pour la santé des Guinéens, mais aussi pour l’avenir de notre système de soins.
AFFAIRE À SUIVRE…
#LE_MITRAILLEUR🩺 Santé en Guinée : 600 spécialistes en attente d’intégration dans l’administration publique guinéenne.
Depuis le 15 juillet 2025, une circulaire du Ministère de la Santé demandait aux hôpitaux publics et privés de transmettre la liste des médecins spécialistes non encore engagés dans la fonction publique, qu’ils vivent en Guinée ou à l’étranger. La note avait été signée par le Directeur National des Établissements Hospitaliers Publics et privés, Dr Fallaye CONDÉ (voir image).
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20:33
14.09.2025
Il est donc urgent que le Ministre de la Santé se saisisse rapidement de ce dossier, non seulement pour la santé des Guinéens, mais aussi pour l’avenir de notre système de soins.
AFFA🩺 Santé en Guinée : 600 spécialistes en attente d’intégration dans l’administration publique guinéenne.
Depuis le 15 juillet 2025, une circulaire du Ministère de la Santé demandait aux hôpitaux publics et privés de transmettre la liste des médecins spécialistes non encore engagés dans la fonction publique, qu’ils vivent en Guinée ou à l’étranger. La note avait été signée par le Directeur National des Établissements Hospitaliers Publics et privés, Dr Fallaye CONDÉ (voir image).
Pour rappel, ils sont près de 600 jeunes médecins spécialistes et en spécialisation à avoir financé leurs études à leurs propres frais (souvent avec l’appui de leurs familles et ou proches) dans des pays comme la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso ou le Bénin.
Il est à préciser que beaucoup étaient majors de leurs promotions et ont refusé des offres à l’étranger pour rentrer servir en Guinée par patriotisme.
Pourtant, la plupart travaillent aujourd’hui dans la précarité : bénévolat ou petits contrats dans nos hôpitaux publics et privés.
Pendant ce temps, nos hôpitaux de l’intérieur manquent cruellement de spécialistes. Dans certains services, comme la dermatologie, il n’y a tout simplement aucun spécialiste pour prendre en charge les patients, selon des informations certaines que j’ai pu recueillir.
Or, cette absence de spécialistes dans certaines régions illustre le problème.
J’en ai moi-même fait l’expérience.
Souffrant d’une pathologie depuis 2016 et après avoir consulté sans succès plusieurs hôpitaux publics et privés de l’intérieur surtout, notamment à l’hôpital régional de Kankan et celui préfectoral de Pita, j’ai fini, sur conseil de mon frère Souleymane Mansare, par me rendre au CHU Donka.
C’est là que j’ai rencontré, pour la première fois, la talentueuse Dre Mariame Touré qui m’est jusqu’ici d’une aide précieuse, puis le professeur Tounkara, tous deux dermatologues. Grâce à leurs diagnostics et à un traitement simple mais approprié, ma situation a évolué favorablement.
Par ailleurs, le silence autour de ce dossier inquiète. Le pays ne peut pas se permettre de perdre ces compétences, au moment même où les populations urbaines et rurales ont un besoin urgent de soins spécialisés. La médecine ne se fait pas par tâtonnement ; c’est un domaine assez sensible où une seule erreur peut coûter la vie à quelqu’un.
Il faut noter que depuis la transmission des listes de spécialistes au ministère, aucune information officielle n’a filtré. Ce silence entretient la confusion et alimente les frustrations, surtout ayant l’expérience fâcheuse de certaines pratiques peu catholiques de nos chefs administratifs.
Il est donc urgent que le Ministre de la Santé se saisisse rapidement de ce dossier, non seulement pour la santé des Guinéens, mais aussi pour l’avenir de notre système de soins.
AFFA🩺 Santé en Guinée : 600 spécialistes en attente d’intégration dans l’administration publique guinéenne.
Depuis le 15 juillet 2025, une circulaire du Ministère de la Santé demandait aux hôpitaux publics et privés de transmettre la liste des médecins spécialistes non encore engagés dans la fonction publique, qu’ils vivent en Guinée ou à l’étranger. La note avait été signée par le Directeur National des Établissements Hospitaliers Publics et privés, Dr Fallaye CONDÉ (voir image).
Pour rappel, ils sont près de 600 jeunes médecins spécialistes et en spécialisation à avoir financé leurs études à leurs propres frais (souvent avec l’appui de leurs familles et ou proches) dans des pays comme la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso ou le Bénin.
Il est à préciser que beaucoup étaient majors de leurs promotions et ont refusé des offres à l’étranger pour rentrer servir en Guinée par patriotisme.
Pourtant, la plupart travaillent aujourd’hui dans la précarité : bénévolat ou petits contrats dans nos hôpitaux publics et privés.
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20:33
14.09.2025
Il est donc urgent que le Ministre de la Santé se saisisse rapidement de ce dossier, non seulement pour la santé des Guinéens, mais aussi pour l’avenir de notre système de soins.
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#LE_MITRAILLEURNous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de pNous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à https://www.facebook.com/share/v/14LRdR48m9E/Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
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Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nouNoNous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et àNous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
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14.09.2025
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
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Faranah 🥲🩺 Santé en Guinée : 600 spécialistes en attente d’intégration dans l’administration publique guinéenne.
Depuis le 15 juillet 2025, une circulaire du Ministère de la Santé demandait aux hôpitaux publics et privés de transmettre la liste des médecins spécialistes non encore engagés dans la fonction publique, qu’ils vivent en Guinée ou à l’étranger. La note avait été signée par le Directeur National des Établissements Hospitaliers Publics et privés, Dr Fallaye CONDÉ (voir image).
Pour rappel, ils sont près de 600 jeunes médecins spécialistes et en spécialisation à avoir financé leurs études à leurs propres frais (souvent avec l’appui de leurs familles et ou proches) dans des pays comme la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso ou le Bénin.
Il est à préciser que beaucoup étaient majors de leurs promotions et ont refusé des offres à l’étranger pour rentrer servir en Guinée par patriotisme.
Pourtant, la plupart travaillent aujourd’hui dans la précarité : bénévolat ou petits contrats dans nos hôpitaux publics et privés.
Pendant ce temps, nos hôpitaux de l’intérieur manquent cruellement de spécialistes. Dans certains services, comme la dermatologie, il n’y a tout simplement aucun spécialiste pour prendre en charge les patients, selon des informations certaines que j’ai pu recueillir.
Or, cette absence de spécialistes dans certaines régions illustre le problème.
J’en ai moi-même fait l’expérience.
Souffrant d’une pathologie depuis 2016 et après avoir consulté sans succès plusieurs hôpitaux publics et privés de l’intérieur surtout, notamment à l’hôpital régional de Kankan et celui préfectoral de Pita, j’ai fini, sur conseil de mon frère Souleymane Mansare, par me rendre au CHU Donka.
C’est là que j’ai rencontré, pour la première fois, la talentueuse Dre Mariame Touré qui m’est jusqu’ici d’une aide précieuse, puis le professeur Tounkara, tous deux dermatologues. Grâce à leurs diagnostics et à un traitement simple mais approprié, ma situation a évolué favorablement.
Par ailleurs, le silence autour de ce dossier inquiète. Le pays ne peut pas se permettre de perdre ces compétences, au moment même où les populations urbaines et rurales ont un besoin urgent de soins spécialisés. La médecine ne se fait pas par tâtonnement ; c’est un domaine assez sensible où une seule erreur peut coûter la vie à quelqu’un.
Il faut noter que depuis la transmission des listes de spécialistes au ministère, aucune information officielle n’a filtré. Ce silence entretient la confusion et alimente les frustrations, surtout ayant l’expérience fâcheuse de certaines pratiques peu catholiques de nos chefs administratifs.
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14.09.2025
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à nNous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
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Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
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14.09.2025
Faranah 🥲? Santé en Guinée : 600 spécialistes en attente d’intégration dans l’administration publique guinéenne.
Depuis le 15 juillet 2025, une circulaire du Ministère de la Santé demandait aux hôpitaux publics et privés de transmettre la liste des médecins spécialistes non encore engagés dans la fonction publique, qu’ils vivent en Guinée ou à l’étranger. La note avait été signée par le Directeur National des Établissements Hospitaliers Publics et privés, Dr Fallaye CONDÉ (voir image).
Pour rappel, ils sont près de 600 jeunes médecins spécialistes et en spécialisation à avoir financé leurs études à leurs propres frais (souvent avec l’appui de leurs familles et ou proches) dans des pays comme la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso ou le Bénin.
Il est à préciser que beaucoup étaient majors de leurs promotions et ont refusé des offres à l’étranger pour rentrer servir en Guinée par patriotisme.
Pourtant, la plupart travaillent aujourd’hui dans la précarité : bénévolat ou petits contrats dans nos hôpitaux publics et privés.
Pendant ce temps, nos hôpitaux de l’intérieur manquent cruellement de spécialistes. Dans certains services, comme la dermatologie, il n’y a tout simplement aucun spécialiste pour prendre en charge les patients, selon des informations certaines que j’ai pu recueillir.
Or, cette absence de spécialistes dans certaines régions illustre le problème.
J’en ai moi-même fait l’expérience.
Souffrant d’une pathologie depuis 2016 et après avoir consulté sans succès plusieurs hôpitaux publics et privés de l’intérieur surtout, notamment à l’hôpital régional de Kankan et celui préfectoral de Pita, j’ai fini, sur conseil de mon frère Souleymane Mansare, par me rendre au CHU Donka.
C’est là que j’ai rencontré, pour la première fois, la talentueuse Dre Mariame Touré qui m’est jusqu’ici d’une aide précieuse, puis le professeur Tounkara, tous deux dermatologues. Grâce à leurs diagnostics et à un traitement simple mais approprié, ma situation a évolué favorablement.
Par ailleurs, le silence autour de ce dossier inquiète. Le pays ne peut pas se permettre de perdre ces compétences, au moment même où les populations urbaines et rurales ont un besoin urgent de soins spécialisés. La médecine ne se fait pas par tâtonnement ; c’est un domaine assez sensible où une seule erreur peut coûter la vie à quelqu’un.
Il faut noter que depuis la transmission des listes de spécialistes au ministère, aucune information officielle n’a filtré. Ce silence entretient la confusion et alimente les frustrations, surtout ayant l’expérience fâcheuse de certaines pratiques peu catholiques de nos chefs administratifs.
Il est donc urgent que le Ministre de la Santé se saisisse rapidement de ce dossier, non seulement pour la santé Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲https://www.facebook.com/share/v/14LRdR48m9E/Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à nNous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à No🩺 Santé en Guinée : 600 spéciNous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
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14.09.2025
La médecine ne se fait pas par tâtonnement ; c’est un domaine assez sensible où une seule erreur peut coûter la vie à quelqu’un.
Il faut noter que depuis la transmission des listes de spécialistes au ministère, aucune information officielle n’a filtré. Ce silence entretient la confusion et alimente les frustrations, surtout ayant l’expérience fâcheuse de certaines pratiques peu catholiques de nos chefs administratifs.
Il est donc urgent que le Ministre de la Santé se saisisse rapidement de ce dossier, non seulement pour la santé des Guinéens, mais aussi pour l’avenir de notre système de soins.
Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à n🩺 Santé en Guinée : 600 spécialistes en attente d’intégration dans l’administration publique guinéenne.
Depuis le 15 juillet 2025, une circulaire du Ministère de la Santé demandait aux hôpitaux publics et privés de transmettre la liste des médecins spécialistes non encore engagés dans la fonction publique, qu’ils vivent en Guinée ou à l’étranger. La note avait été signée par le Directeur National des Établissements Hospitaliers Publics et privés, Dr Fallaye CONDÉ (voir image).
Pour rappel, ils sont près de 600 jeunes médecins spécialistes et en spécialisation à avoir financé leurs études à leurs propres frais (souvent avec l’appui de leurs familles et ou proches) dans des pays comme la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso ou le Bénin.
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Pourtant, la plupart travaillent aujourd’hui dans la précarité : bénévolat ou petits contrats dans nos hôpitaux publics et privés.
Pendant ce temps, nos hôpitaux de l’intérieur manquent cruellement de spécialistes. Dans certains services, comme la dermatologie, il n’y a tout simplement aucun spécialiste pour prendre en charge les patients, selon des informations certaines que j’ai pu recueillir.
Or, cette absence de spécialistes dans certaines régions illustre le problème.
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Souffrant d’une pathologie depuis 2016 et après avoir consulté sans succès plusieurs hôpitaux publics et privés de l’intérieur surtout, notamment à l’hôpital régional de Kankan et celui préfectoral de Pita, j’ai fini, sur conseil de mon frère Souleymane Mansare, par me rendre au CHU Donka.
C’est là que j’ai rencontré, pour la première fois, la talentueuse Dre Mariame Touré qui m’est jusqu’ici d’une aide précieuse, puis le professeur Tounkara, tous deux dermatologues. Grâce à leurs diagnostics et à un traitement simple mais approprié, ma situation a évolué favorablement.
Par ailleurs, le silence autour de ce dossier inquiète. Le pays ne peut pas se permettre de perdre ces compétences, au moment même où les populations urbaines et rurales ont un besoin urgent de soins spécialisés. La médecine ne se fait pas par tâtonnement ; c’est un domaine assez sensible où une seule erreur peut coûter la vie à quelqu’un.
Il faut noter que depuis la transmission des listes de spécialistes au ministère, aucune information officielle n’a filtré. Ce silence entretient la confusion et alimente les frustrations, surtout ayant l’expérience fâcheuse de certaines pratiques peu catholiques de nos chefs administratifs.
Il est donc urgent que le Ministre de la Santé se saisisse rapidement de ce dossier, non seulement pour la santé des Guinéens, mais aussi pour l’avenir de notre système de soins.
Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
Faranah 🥲Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à Nous ne sommes pas contre la Constitution, mais nous vous demandons aussi de penser à nous et à notre chère ville. C’est une doléance que nous exprimons avec respect.
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Pendant ce temps, nos hôpitaux de l’intérieur manquent cruellement de spécialistes. Dans certains services, comme la dermatologie, il n’y a tout simplement aucun spécialiste pour prendre en charge les patients, selon des informations certaines que j’ai pu recueillir.
Or, cette absence de spécialistes dans certaines régions illustre le problème.
J’en ai moi-même fait l’expérience.
Souffrant d’une pathologie depuis 2016 et après avoir consulté sans succès plusieurs hôpitaux publics et privés de l’intérieur surtout, notamment à l’hôpital régional de Kankan et celui préfectoral de Pita, j’ai fini, sur conseil de mon frère Souleymane Mansare, par me rendre au CHU Donka.
C’est là que j’ai rencontré, pour la première fois, la talentueuse Dre Mariame Touré qui m’est jusqu’ici d’une aide précieuse, puis le professeur Tounkara, tous deux dermatologues. Grâce à leurs diagnostics et à un traitement simple mais approprié, ma situation a évolué favorablement.
Par ailleurs, le silence autour de ce dossier inquiète. Le pays ne peut pas se permettre de perdre ces compétences, au moment même où les populations urbaines et rurales ont un besoin urgent de soins spécialisés. La médecine ne se fait pas par tâtonnement ; c’est un domaine assez sensible où une seule erreur peut coûter la vie à quelqu’un.
Il faut noter que depuis la transmission des listes de spécialistes au ministère, aucune information officielle n’a filtré. Ce silence entretient la confusion et alimente les frustrations, surtout ayant l’expérience fâcheuse de certaines pratiques peu catholiques de nos chefs administratifs.
Il est donc urgent que le Ministre de la Santé se saisisse rapidement de ce dossier, non seulement pour la santé des Guinéens, mais aussi pour l’avenir de notre système de soins.
🩺 Santé en Guinée : 600 spécialistes en attente d’intégration dans l’administration publique guinéenne.
Depuis le 15 juillet 2025, une circulaire du Ministère de la Santé demandait aux hôpitaux publics et privés de transmettre la liste des médecins spécialistes non encore engagés dans la fonction publique, qu’ils vivent en Guinée ou à l’étranger. La note avait été signée par le Directeur National des Établissements Hospitaliers Publics et privés, Dr Fallaye CONDÉ (voir image).
Pour rappel, ils sont près de 600 jeunes médecins spécialistes et en spécialisation à avoir financé leurs études à leurs propres frais (souvent avec l’appui de leurs familles et ou proches) dans des pays comme la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso ou le Bénin.
Il est à préciser que beaucoup étaient majors de leurs promotions et ont refusé des offres à l’étranger pour rentrer servir en Guinée par patriotisme.
Pourtant, la plupart travaillent aujourd’hui dans la précarité : bénévolat ou petits contrats dans nos hôpitaux publics et privés.
Pendant ce temps, nos hôpitaux de l’intérieur manquent cruellement de spécialistes. Dans certains services, comme la dermatologie, il n’y a tout simplement aucun spécialiste pour prendre en charge les patients, selon des informations certaines que j’ai pu recueillir.
Or, cette absence de spécialistes dans certaines régions illustre le problème.
J’en ai moi-même fait l’expérience.
Souffrant d’une pathologie depuis 2016 et après avoir consulté sans succès plusieurs hôpitaux publics et privés de l’intérieur surtout, notamment à l’hôpital régional de Kankan et celui préfectoral de Pita, j’ai fini, sur conseil de mon frère Souleymane Mansare, par me rendre au CHU Donka.
C’est là que j’ai rencontré, pour la première fois, la talentueuse Dre Mariame Touré qui m’est jusqu’ici d’une aide précieuse, puis le professeur Tounkara, tous deux dermatologues. Grâce à leurs diagnostics et à un traitement simple mais approprié, ma situation a évolué favorablement.
Par ailleurs, le silence autour de ce dossier inquiète. Le pays ne peut pas se permettre de perdre ces compétences, au moment même où les populations urbaines et rurales ont un besoin urgent de soins spécialisés.
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14.09.2025
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